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tu as fais tout ce que tu as pu pour elle, tu as été la pour elle en lui apportant de l'aide, en la rassurant, ta présence .... Mais parfois, des personnes ne s'en sorte pas ! L’étude des relations entre personnalité et alcoolisme est passée de la recherche d’une personnalité “spécifique” de l’alcoolique, dans une perspect ive psychodynamique, à une évaluation plus épidémiologique, formulée en termes de comorbidité et d’évaluation des troubles de la personnalité associés à l’alcoolodépendance. Ces comportements, ces dérives, peuvent aussi survenir chez un sujet sans forcement que l'alcool en soit la cause: profonde névrose, psychoses, etc. L'alcool n'est pas une escuse à la violence. D'où le refus d'aide médicale ?? complètement d'accord, l'alcool n'est pas une excuse à quelconque violenceEst-ce que tu peux préciser un peu plus, s'il-te-plaît ?la laisser toucher le fond s'il le faut. Les effets de l'alcool varient selon les personnes. Cette mince couche de cellules (aussi connue sous le nom de Les premières à abdiquer devant la tyrannie de l’alcool, ce sont nos Une fois que l’alcool commence à s’attaquer au système limbique, on peut considérer qu’on est passé du côté obscur de l’ivresse.Le système limbique, qui généralement garderait nos émotions sous contrôle, nous soumet maintenant à des sautes d’humeur et des états exagérés. Il aurait fallu que je m'y intéresse au moment des "faits", mais mon attention était tellement fixée sur mon ex, les moments où elle était en manque de drogue et d'alcool étant parfois aussi difficiles à gérer que les moments où elle en prenait, que j'avoue n'y avoir jamais pensé. Que certes, elle peut réveler cet état mais qui est forcément un peu présent déjà chez une personne. Essayer de comprendre ? Puisque tu y as laissé des blessures en toi) C'est dans ce sens-là que je parlais de l'excuse, qui est parfois une tentation dangereuse pouvant amener à ne pas juger la situation suffisamment grave et intolérable pour ne pas réagir immédiatement.Nicky, (ouhhh ça fait bizarre de t'appeler ainsi !) C'est à peu près, entre autre, le message délivré dans les groupes de paroles Al-anon, des groupes d'adulte affrontant l'alcoolisme d'un de leur proche, et se sentant le besoin d'être soutenu face à ça... Je ne sais pas si cela peut t'aider, si cela te parle un peu. et choisir de rester ou de partir, c'est un autre sujet. Tout à fait, vous le serez encore plus (rappelez-vous, les bagarres de bars…).Trop frileux pour dire : « l’alcool c’est pas bien, même avec modération » ?Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Etre compatissant peut-être. tu peux rien faire et a un moment donné si tu pars pas, c'est sur toi que tout ça se répercute! Chacun a une part de responsabilité quand il consomme de l'alcool.j'ai pas dit qu'il fallait excuser, ça chacun fait comme il peut.Je pense pareil, que l'alcool n'excuse pas une certaine violence. C'est dans ce sens-là que je parlais de l'excuse, qui est parfois une tentation dangereuse pouvant amener à ne pas juger la situation suffisamment grave et intolérable pour ne pas réagir immédiatement.Merci beaucoup pour vos réponses.
Chacun exprime différemment l'état alcoolique. Trop ! J'aimerais avoir votre avis sur un sujet très complexe qui me tient particulièrement à coeur depuis quelques années et qui revient en force ces derniers temps dans mon esprit.
Révélateur d'un caractère violent, caché sous une façade parfois angélique, que la personne parvient à maîtriser consciemment ou non lorsque l'alcool ne la désinhibe pas ? Je suis tout-à-fait d'accord sur le fait que la situation de la personne alcoolique (car il s'agit bien de ça dans mon esprit) n'est pas facile.
Boire de l’alcool fait partie de ces petits plaisirs coupables de la vie qu’on n’aime pas se refuser, une fois de temps à autre.Ok, mais que se passe-t-il dans notre cerveau PENDANT qu’on boit ? Elle désinhibe certes, mais ce n'est pas une excuseexcuser pas genre minimiser les dégâts, excuser genre considérer que quelque chose a pris possession d'elles sans qu'elles aient pu se contrôler. oui c'est tout à fait excusable. Etre le partenaire de quelqu'un ne signifie pas se substituer à un suivi médical qu'il refuse, tu n'en as pas les capacités et y laisser jusqu'à ta dernière plume n'est en rien une solution.
Qui plus est, les exemples qui ont affecté ma vie sont des filles, dont mon ex, alors je me sens plus à l'aise pour en parler ici. Merci d'avance pour vos interventions.Bonjour Nicky :)
L alcool n est pas un révélateur de personnalité. Tu as certainement fait au mieux et ce qui été dans la mesure de tes capacités, après seule la personne elle-même, dans le cas de l'alcoolisme/toxicomanie peut prendre conscience (ne plus être dans le déni) grâce à un suivi, un soutien, de sa maladie et se prendre/être prise en charge. Mais la violence, il faut en tous les cas s'en protéger, cela détruit trop de choses.Non, je ne connais pas, mais je sais qu'il existe en effet des groupes de soutien pour les proches. Pour ne rien manquer des publications, abonnez-vous à la