La toile et les réseaux sociaux se sont enflammés durant le week-end en faveur de l’abandon des cirques avec animaux. Au lieu de ne connaître que pelouse publique, pistes de cirques bruyantes, cages et camions, ces animaux en voie de disparition devraient pouvoir bénéficier d’une vie digne de ce nom dans des espaces protégés et adaptés.Aujourd’hui, près d’une trentaine de pays – Autriche, Belgique, Bolivie, Bulgarie, Chypre, Costa Rica, Croatie, Danemark, Estonie, Finlande, Grèce, Guatemala, Hongrie, Inde, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Liban, Malte, Mexique, Pays-Bas, Pérou, Portugal, Roumanie, Singapour, Slovénie, Suède – a légiféré contre la présence des animaux dans les cirques.

Librairie Dans le Finistère, une quarantaine de communes sans eau potableÉtats-Unis : la Californie confrontée à des coupures de courantUn plan de relance à 100 milliards, pour quoi faire ?Éric Dupond-Moretti veut faire la lumière sur le suicide d’un enseignant aux BaumettesCanicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouestCynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité »Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventéMauritanie : les crimes économiques de l’ancien président Aziz en attente de jugementÉtats-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au TexasL'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au CongrèsL’Abbaye des Prémontrés ouvre ses portes pour la « Mousson d’été »Accusations d’antisémitisme : Stéphane Bern défend l’écrivain Pierre LotiInstrument de travail pour le Synode 2019 sur l’AmazonieUISG, XXIe Assemblée générale 2019 : “Semeuses d’espérance prophétique”Document final du Synode des évêques 2018 sur “Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel” Un groupe de travail avait été lancé en avril par le ministère sur le bien-être des animaux dans les cirques, les zoos ou les delphinariums.

Le cirque Bouglione, qui échappe à la mesure prise par la Ville puisqu'il est chez lui au Cirque d'Hiver (XIe), a refusé tout net et promet un numéro avec des éléphants dans son prochain spectacle l'an prochain.Quant aux cirques Bormann-Moreno (dont le chapiteau est planté dans le sud du XVe) et Arlette Gruss (qui revient à intervalle régulier pelouse de Reuilly, XIIe), ils ont eux aussi décliné l'offre de la Ville, notamment danse l'attente d'une décision ministérielle. Et de souligner le succès des «300 parcs animaliers, dont certains doivent leur réussite aux spectacles des animaux».«Que fera-t-on des animaux, on va les vendre au marché noir asiatique ?» s'interroge encore William Kerwich.«La mairie de Paris devrait faire de vraies propositions pour une reconversion dans le temps. Depuis, Éric Bormann a déposé plainte contre X pour acte de malveillance(la chaîne qui empêchait l’ouverture de la cage aurait été sectionnée). Après il ne restera plus que des spectacles comme le Cirque du Soleil pour les intellos et les ados», dit-il. Priscilla - Le 10/05/2016 à 10:33:40. Le premier étant propriétaire de son domaine, le Cirque d'Hiver, ne peut se voir imposer en l'état cette interdiction. Le Conseil de Paris a entériné ce vendredi après-midi une mesure très attendue par les défenseurs des animaux : La mairie n'a pas prononcé formellement d'interdiction, qui ne peut relever juridiquement que de l'Etat, lequel n'a pas encore pris de décision sur le sujet. Vue aérienne prise le 19 janvier 2009 à Bordeaux du chapiteau du cirque «Arlette Gruss» / AFP«Les extrémistes commencent avec les fauves puis ce sera au tour des chevaux. Le forcer à accomplir un tel exercice, est-ce cela qu’on appelle « l’art du cirque » ?Et présenter au jeune public un « art » mettant en scène des animaux que l’on mène du bout d’un fouet constitue un message déplorable d’un point de vue pédagogique et éthique quand, en parallèle, on leur inculque à ne pas être violent envers les animaux.Les cirques qui incluent l’animal dans leurs spectacles sont des entreprises à part entière, qui font vivre un certain nombre d’employés, de vétérinaires, de fournisseurs en nourriture végétale et carnée.Sur cette base économique et entrepreneuriale, les cirques considèrent l’animal non pas comme un être vivant doté de sensibilité et d’émotions aux besoins physiologiques précis, mais comme un produit générant pertes et profits (frais de vétérinaire, nourriture, nombres d’entrées).Dans ce contexte, l’entreprise-cirque ne se soucie guère du ressenti physique et psychologique de l’animal, obligé d’accomplir une performance que sa morphologie (poids, forme des pattes) ou son psychisme (peur du feu, du bruit, de la foule, de la lumière) ne lui permettent d’accomplir qu’au prix d’une souffrance réelle.Dans ce contexte alarmant, et pour des raisons éthiques, écologiques et politiques, ces spectacles de cirques avec animaux menacés devraient être reconnus hors-la-loi, au même titre que le braconnage pour l’ivoire.Les arts du cirque sont multiples et ancestraux, ils peuvent être maintenus pourvu qu’on en retire les animaux. La toile et les réseaux sociaux se sont enflammés durant le week-end en faveur de l’abandon des cirques avec animaux.La France et Paris, vitrines du monde, ont souvent montré l’exemple en matière de droits humains et de l’animal.

Sous la bannière commune « Collectif des cirques », la missive dénonce « l’exaspération de nos adhérents […] certains que la fin de leur activité est programmée ». Appliquons les lois existantes et interdisons les fauves dans les cirques. Les entasser par paquets dans une cage-remorque est une abomination. Jean-pierre - Le 06/05/2016 à 15:32:29. Plus de 60 villes en France, dont Rennes récemment, ont décidé de ne plus accueillir de cirques avec des animaux sauvages. Les mots fleurissent pour qualifier l’abattage de l’animal mais ne se ressemblent pas. Victor 11ans 6ème v. 2. Sous prétexte que les cirques avec animaux sont des entreprises qui génèrent des emplois, il faudrait maintenir cette pratique antique ?poliakov : Nous humains, avons décidé que tout ce qui vit sur notre planète est à notre disposition, nous disposons, nous abusons de tout.