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Selon lui, "un peu plus de 65% des terres déboisées en Amazonie sont aujourd'hui occupées par des pâturages".Depuis plusieurs années déjà, le Brésil est le deuxième plus gros producteur de viande bovine au monde (9,9 millions de tonnes produites en 2018), derrière les États-Unis (12,3 m. de t.). © 2020 - Bayard Presse - Tous droits réservés - @la-croix.com est un site de la Croix Network Présidentielle américaine : Joe Biden accepte l’investiture démocrateMigrants : ces Tunisiens et Algériens qui fuient leur paysLa rentrée scolaire aura bien lieu le 1er septembre, annonce Jean-Michel BlanquerCovid-19 : quelles restrictions pour les Français qui voyagent ?Canicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouestCynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité »Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventéEn Côte d’Ivoire, la tension monte avant les électionsÉtats-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au TexasL'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au Congrès« Des vies à découvert » : les destinées bouleversées de Barbara KingsolverÀ Jérusalem, une fatwa interdit l’accès à la mosquée Al-Aqsa aux ÉmiratisInstrument de travail pour le Synode 2019 sur l’AmazonieUISG, XXIe Assemblée générale 2019 : “Semeuses d’espérance prophétique”
En Europe et notamment en France, le soja est retrouvé majoritairement dans les les produits d’origine animale.
En croissance de 8 % sur les cinq premiers mois de 2020, l’agro-négoce brésilien représente désormais près de la moitié de la valeur des exportations brésiliennes.L’étude a d’ailleurs été publiée le lendemain de l’annonce, par le vice-président Hamilton Mourão, d’un engagement du Brésil à « Les feux de forêt en Amazonie ont à nouveau augmenté de près de 30 % entre les mois de juillet 2019 et 2020. À découvrir Librairie Tous droits réservés. L’étude souligne cependant que « Le secteur agricole brésilien a connu un essor considérable - la production de soja a quadruplé en deux décennies - et joue un rôle moteur dans l’économie nationale.
Au Brésil, le front pionnier remonte vers l'Amazonie et déborde sur les pays voisins. Selon une étude, jusqu’à un cinquième des exportations brésiliennes de soja vers l’Union européenne pourraient être « contaminées » par la déforestation illégale. Un "cercle infernal" extrêmement néfaste pour l'Amazonie, puisque les cultures de soja occupent déjà près de 6,5% de la surface déboisée, une part amenée à augmenter dans les prochaines années.Si le besoin de nourrir les élevages est une des raisons qui pousse le Brésil à développer la culture du soja, elle n'est cependant pas la seule. Cette... La déforestation a, par exemple, entraîné la destruction d’une grande partie de l’habitat naturel du fourmilier géant, classé sur comme vulnérable sur la liste des espèces menacées.Pour ce qui est de la viande bovine, les auteurs estiment que 17 % des exportations vers l’Union européenne seraient liées à la déforestation.
Depuis les années 1990, la culture du soja s'est étendue au Brésil et aux pays voisins, au point que la production sud-américaine dépasse celle des Etats-Unis. Donc si la production de viande augmente, celle de soja doit suivre le rythme.