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Ensuite, il y a eu le défi physique, puisqu’il fallait que ces acteurs-là, qui sont tous des acteurs valides, il fallait qu’ils jouent des paraplégiques, des tétraplégiques, donc on est allés là où on a tourné, dans le centre de rééducation. La plupart ne connaissaient pas bien ce monde-là, ce domaine-là. Et la deuxième chose peut-être qu’en sortant du film ou le lendemain ou la semaine d’après, quand ils vont croiser une personne en fauteuil roulant, peut-être qu’ils la regarderont, je parle de ceux qui ne connaissent pas bien ce milieu-là, ils la regarderont peut-être un petit peu autrement. On élargit enfin le cadre parce que Ben part au loin dans le couloir, et là, on sent qu’il retrouve un peu de liberté, il retrouve un peu d’autonomie grâce à ce fauteuil. Histoire vraie, vécue par un généraliste. Princesse s’inspire d’une histoire vraie, celle d’Anna Lappalainen (1896-1988), qui a passé plus de cinquante ans à l’hôpital psychiatrique de Kellokoski. durée : 00:31:12 - Espions, une histoire vraie - Espion américain des années soixante en Amérique latine, Philip Agee démissionne, s’exile et publie en 1975, "Journal d’un agent secret", où il révèle au monde les opérations secrètes des services secrets américains. Il y a plusieurs choses. Avant tout, ce sont des êtres humains qui vivent des moments très difficiles, qui réapprennent à vivre ensemble, ils redécouvrent des sentiments d’amitié, de séduction, ils s’engueulent, ils fraternisent, on voulait surtout se focaliser là-dessus. On voulait de belles images. Du coup, on voulait une belle image. Il a vraiment fallu créer cette équipe de cinq, il fallait que ça marche quand les cinq sont à l’écran. Après, on ne s’est rien partagé, il n’a pas géré de son côté la partie technique et moi la direction d’acteurs, on a tout fait ensemble. Mais j’espère quelle découverte parce qu’ils sont, on en parlait hors antenne, je sais qu’ils vous ont plu aussi, ils sont fabuleux, ils sont beaux, ils sont drôles, ils sont touchants, ils sont émouvants, et puis il fallait qu’elle soit crédible cette petite bande de potes et c’est vrai qu’on les suit, on a envie de rester avec eux.Très sincèrement, on ne l’a pas cherchée cette ressemblance, quand Pablo est arrivé au casting, il était en train de faire un autre rôle, il avait une grosse barbe rousse, des longs cheveux blonds, il ne me ressemblait pas du tout. Pour ceux qui n’ont pas vu le film, Jean-Marie est un aide-soignant très professionnel mais qui est une tornade. Ce n’est pas un biopic ou une autobiographie de Grand Corps Malade, son histoire avant qu’il fasse des disques, c’est pas du tout ça l’idée. On a fait des répétitions en amont, on les a mis dans des fauteuils. C’est une des phrases de Farid dans le film qui dit : " La Vraie Histoire En 2005, des détectives du FBI enquêtèrent sur une mystérieuse série de disparitions qui avaient eu lieu dans le petit village de Nome, en Alaska.
Ce n’est pas un film d’action.
C’était notre principal critère de réussite. Une fois de plus, je n’ai rien inventé. Ensemble, elles vont se lancer dans une bataille juridique pour améliorer le traitement des malades mentaux maltraités et laissés-pour-compte dans les hôpitaux. À partir de là, notre réalisation va se permettre un peu plus de mouvements. A la fin des séances, il y a des gens émus. On a fait pas mal d’avant-premières, le film sort le 1er mars mais on a déjà vu la réaction des gens, on se rend compte que ça rigole beaucoup. C’est mon histoire mais à la limite on s’en fiche. C’est pour ça que le titre " Patients " est au pluriel. En parallèle, Eleanor va tout faire pour transformer la vie bourgeoise et trop rangée de Colette. Il faut du travail, de l’observation, prendre des notes, poser beaucoup de questions. L'épidémie a parfois provoqué des comportements irrationnels ou étranges de la part des patients. Il s’est mis au fauteuil roulant, il a observé, il a pris des attitudes et c’est vrai qu’au final, c’est assez cohérent, il y a une petite ressemblance qui s’est créée, on était les premiers surpris mais c’est vrai que ça fonctionne.C’est d’abord au casting, on a d’abord choisi les acteurs individuellement, après on a fait ce qu’on appelle des "call back", c’est-à-dire qu’on les a rappelés - ils n’étaient pas encore sûrs d’être pris sur le film - pour faire des binômes, puis faire des répétitions à trois, à quatre, à cinq, là on a vu qu’il y en avait certains qui étaient très bien individuellement mais qui n’existaient pas assez dans le groupe, donc on ne les a pas pris, puis on en a cherché d’autres.