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Que doit-on en comprendre?Après avoir réexaminé des dizaines d’études, ces chercheurs provenant de sept pays Leurs conclusions, parues sous la forme de quatre articles (accompagnés d’un Comment expliquer ces divergences? 43 % des Belges ont un poids qui menace leur santé, le syndrome américain guette.
Ibrahim Thiaw, secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, souligne : En général, les participants remplissent un formulaire sur ce qu’ils ont mangé la veille.
Par viande transformée, on comprend les viandes fumées, salées ou traitées, comme la charcuterie, le boudin, la saucisse… Parmi les cancers les plus fréquents chez les gros consommateurs de viande, on note les ca… TRIBUNE. Le risque d'apparition de certains cancer est augmenté chez les personnes consommant une grande quantité de viande rouge ou de viande transformée (à savoir les viandes fumées, salées ou traitées comme la charcuterie, le pâté, le boudin, ou encore la saucisse) : Une étude Suédoise a analysé l’ensemble des études portant sur toutes les viandes (boeuf, veau, porc, agneau et mouton) et les produits à base de viande transformée (jambon, saucisses, bacon, saucisses, salami,..) et qui évaluaient l’impact sur la santé .La revue de ces études à confirmé les risques significativement accrus de maladies chroniques : diabète, maladie cardiaque, accident vasculaire cérébral et cancer (sein et colorectal) ainsi que le risque de décès prématuré !Mais encore plus intéressant, ils se sont livrés a une estimation du risque en fonction de la consommation quotidienne de viande rouge, transformée ou non.Pour 100g de viande rouge consommée quotidiennement et selon les différentes études :Pour 50g de viande rouge transformée consommée quotidiennement :Ces données confirment bien les alertes émises par L’INCa, à savoir que le risque de consommation élevée de viande rouge, et plus particulièrement de viande traitée est associé à un risque accru de plusieurs maladies chroniques majeures et de mortalité prématurée.Médecin, micro-nutritionniste, médecin du sport, je suis passionné par la médecine préventive, la prévention du vieillissement, la longévité et l’étude des comportements santé. Les résultats sont donc jugés moins fiables.Malgré ces limites, les études observationnelles demeurent la meilleure façon de faire des études nutritionnelles, insiste la nutritionniste Marie-Josée LeBlanc, chargée de cours à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.Comme plusieurs de ceux qui ont réagi vivement à l’étude des Et c’est sans compter ceux qui ont souligné les impacts environnementaux de la consommation de viande rouge.Au final, qu’il s’agisse de maintenir ou de diminuer sa consommation de viande rouge ou de charcuteries, les deux groupes arrivent donc à des conclusions similaires. Surconsommation de produits animaux : Pour la première fois en Belgique des chercheurs se sont intéressés au contenu de nos assiettes, les résultats de l’enquête nationale de consommation (2004) sont sans appel.
Mais un facteur central, bien identifié par l’Organisation mondiale de la santé, est souvent passé sous silence : la transformation radicale de notre modèle alimentaire, qui contient deux fois plus de viande que celui de nos grands-parents, trois fois plus que celui de nos arrière-grands-parents !Cette consommation de viande a des conséquences directes sur notre santé, à travers les modifications de métabolisme qu’elle engendre. Par exemple, ils estiment que de manger trois portions de viande rouge de moins par semaine diminue de 1 à 6 cas par 1000 personnes de diabète de type 2 ou de problèmes cardiovasculaires. Oui, mais… Et si trop de viande pouvait s’avérer nocif pour notre santé. Toutefois, ce type d’étude permet difficilement de démontrer une relation de cause à effet entre leur alimentation et un changement sur leur santé.
Mais que sait-on concrètement ?
Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!Des chercheurs ont fait récemment beaucoup parler d’eux en concluant qu’il n’est pas vraiment nécessaire de réduire sa consommation de viande rouge ou de charcuteries pour prévenir cancers et maladies du cœur —ce qui va pourtant à l’encontre des recommandations en vigueur depuis des années. Impact écologique de la viande Difficile de parler de la consommation de viande sans mentionner l’impact environnemental de l’industrie qui la produit. On compare ensuite les résultats pour chaque groupe.Le problème est qu’en nutrition, ce type d’étude est impossible à mener ou, du moins, coûterait très cher.
Les 323 millions de tonnes de viande produites dans le monde ont un impact majeur sur le réchauffement, la déforestation et la consommation d’eau. Si les conséquences environnementales sont bien connues (L’iNCa a alerté sur les risques de cancer colorectal associés à un excès de consommation de viande rouge (bœuf, porc, veau, agneau, cheval et mouton) et a recommandé de limiter sa consommation à 500g par semaine.Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience.
« Mange de la viande si tu veux devenir fort (ou forte) », sans doute une phrase que nombre d'entre nous ont entendu de la bouche de parents ou grands parents.Mais est-ce vrai ?